par Alecziel Hogan Mer 1 Avr - 23:19
Un directeur, c'est un peu comme un premier ministre. Toujours occupé et en déplacement, les moments à soit sont d'une rareté affligeante. Edward c'était toujours trouvé l'âme d'un premier ministre. Hélas le destin en avait voulu autrement et aujourd'hui il se retrouvait à la tête de Poudlard. Une situation que beaucoup lui enviait, prendre la succession de grand nom et s'asseoir fiérement dans le siége ou les fesses de feu-Dumbeldore avait regné en maitre durant dès années avait surement quelques choses de génial.
Génial... Génial...
Cela ne sonnait pas ainsi aux oreilles d'Edward. Le pouvoir, la toute puissance. Voila ce qui désirait. Devoir punir de simple sorcier en culotte courte ne lui plaisait pas, et chaque jour qui défilait sous ces yeux lui rappellait qu'il n'avait pas encore atteint son but: devenir ministre de la magie à la place du ministre de la magie.
Mais casse la tienne, le temps qu'une nouvelle guerre noire commence et ne montre aux yeux des milliers de sorciers anglais combien le premier ministre actuel était un incapable et qu'ils viennent tous le suplier de leur venir en aide, seul quelques années le séparait.
Déambulant de façon lente dans les couloirs du chateau, il rappellait à l'ordre les élèves pertubateurs qu'il croisait, félicitait une de ces fières recrues de sa "Brigade Inquisitoriale". Quelle belle invention. Une lumière de génie dans le monde. Pour combattre la crapule Poudlardienne, quoi de mieux que de former sa petite armée personnelle? Formé et éduqué par ces bons soins. De petits robots personnels prêts à répondre aux moindres de ces désirs et à écraser tout les moins que rien que comptait Poudlard.
Grace à eux, il aurait surement pu devenir maitre tout puissant des lieux. Mais un groupe de jeune sorcier résistait encore et toujours à l'envahisseur. Maudit et stupide Maraudeurs. Une bande de fils et fille à papa qui ne trouvait rien de mieux que d'apporter l'anarchie et la guerre dans les murs de SON école.
De son temps, on n'aurait pas laissez ces marmailles à Poudlard.
Automatiquement, le directeur se dirigea vers la bibliothèque. Calme obligatoire. Il pouvait au moins compter sur la bibliothécaire pour faire respecter cela. Alors qu'il rentrait dans les lieux sentant le refermés, il vit un élève de première année faire tomber un livre au sol. Pointant son long doigt fin vers lui, il mima son regard le plus terrifiant, et parlant d'un ton sifflant lui dit:
-Toi petite racaille! C'est tu ce que tu viens de faire? Faire tomber un pareil livre. Tout l'or de tes parents ne suffirait pas à rembourser les dommages que tu viens de causer. Ce n'est pas la peine de pleurer! Qu'est ce que tu crois? Que prit de compassion le livre va se réparer tout seul?
Se baissant jusqu'a son visage il lui murmura:
-Je suis sur que Rusard serait ravi d'apprendre ce que tu viens de faire. Cela fait un moment qu'il me demande de rétablir l'écartelation.
L'enfant changea de couleur, devenant aussi blanc que la neige. Un sourire fière apparut sur le visage d'Edward. Se relevant il lui tapota la tête.
-Dieu merci je suis un directeur laxiste! Je ne dirais rien petit, ne t'inquiète pas! Allez zou! Va retrouver tes petits amis.
Lui faisant un clin d'oeil, le genre de clin d'oeil qui fait par Mickael Jackson l'aurait recondui en prison, le directeur le regarda partir rapidement. Mieux vallait les avoirs dans sa poche très tôt. Plus facile à manipuler.
Le regard du directeur balaya la salle et se posa sur une tignasse de cheveux. Un visage fort désagréable (a), reconnaissable entre 1000. La petite et énervante Rose Weasley.
S'avançant entre les tables, il passa une première fois devant elle, faignant de devoir parler avec la bibliothècaire. Repassant de nouveau devant elle. Il se stoppa net et la regarda de haut en bas avant d'attraper avec une rapidité surhumaine le livre qui était devant elle.
-Le basilic... Rassurez moi, votre oncle ne vous a pas parler de ces exploits de jeunesses et vous ne comptez pas relacher cette créature. Bien que je doute de vos compétences à savoir controler pareil créature. Le dernière possesseur était tellement au dessus de vos compétences. A coté de lui vous... ce que les Tokio Hotel sont par rapport au Rolling Stone. Un tout petit petit petit insecte.
Mimant de ces mains la taille qu'elle faisait, il lut les quelques pages du livre avant de le fermer brusquement.
-Je sais que l'illégalité vous plait Miss Weasley, mais lire ce genre de livre pourrait bien vous faire passer pour une future criminelle, et vous savez ce que je leur fait?
Il relacha le livre sur la table, qui s'écrasa avec fracas contre le bois de la table. N'importe quoi en dessous aurait surement été réduit en miette.