TIME TURNER

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    jezabel vk. (terminée)

    Jezabel Van Kuilmburg
    Jezabel Van Kuilmburg


    Messages : 2
    Date d'inscription : 26/07/2009

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    Message par Jezabel Van Kuilmburg Dim 26 Juil - 19:01

    jezabel vk. (terminée) WoolsomgLOVELYem1
    J E Z A B E L V A N K U I L M B U R G

    FICHE D'IDENTITÉ


      ■ nom;prénom: Van Kuilmburg, Jezabel, mais appellez moi Jez
      ■ date de naissance: née en 1994, le 3 avril
      ■ age: 15 ans
      lieux de naissance;nationalité: Je suis née a Rotherdam, je suis donc Hollandaise pur souche.



    DERRIÈRE L'ECRAN



      ■ pseudo/prénom: tropézienne (lara)
      ■ age: 14 ans, mais bientot 15, oui, oui, c'est important mdrr
      ■ avis sur le forum: très jolie design sur la ravissante Hermi, et en plus de ma Tamy chérie, juste un waouh parfait.
      ■ comment vous l'avez connu: devinez par qui ; )
      ■ célébrité: Emma Watson
      ■ autre? pas pour le moment Very Happy



    Dernière édition par Jezabel Van Kuilmburg le Jeu 30 Juil - 16:43, édité 6 fois
    Jezabel Van Kuilmburg
    Jezabel Van Kuilmburg


    Messages : 2
    Date d'inscription : 26/07/2009

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    Message par Jezabel Van Kuilmburg Mar 28 Juil - 19:08

    PORTRAIT DE L'ÉTUDIANT
      année: 5e année
      ■ maison: Gryffondor
      ■ statut: membre de l'équipe de quidditch
    L'HISTOIRE D'UNE VIE
    jezabel vk. (terminée) BT*xJmx*PTEyNDg5NjE*NDI5MjEmcHQ9MTI*ODk2MTQ*NjM4NCZwPTE4MDMxJmQ9Jmc9MSZvPWM4ZTMxNzk5M2RmNTQ1NmQ4YmE4YTNkYTI*NzllN2Iz

      ■ naissance: []moldu []sorcier mêlé [x]sang pur

      biographie: 15 lignes
      Jezabel, voilà mon nom. Ou plutôt l'un de mes prénoms, mon nom complet est Jezabel Diane Jann Loyanda Van Kuilmburg. Je suis sûrement la seule Van Kuilmburg en Angleterre. Dans mon pays natal, les Pays-Bas, ma famille vit dans les campagnes fromagères. Une parfaite famille de sorciers avec ses sept enfants et ses multiples animaux de compagnie.

      Aîné, Karolina, est là plus intelligente de tous, elle dormait a l'époque dans l'ancienne bibliothèque de la famille, et ne faisait que lire, elle aimait tout les grand écrivains, tels que Shakespeare, Rousseau ou encore Zola. Virent ensuite Zadig et Doug, les deux jumeaux de la famille, deux affreux jojo, qui étaient des grands fans de Fred et Georges Whisley. Ils faisaient tout comme eux. Les farces et attrapes recouvraient leur chambres toute entière, et quelques fois ils confondaient leurs couvertures avec les tissus de poils a gratter en peau de dragon de Roumanie. Je vins juste après eux. Je ne subit leurs farces que pendant un an, car quelques mois plus tard, un nouvel arrivant, détourna leurs attention de moi. Kaya. Notre cousine Polonaise nous avait rejoins chez nous, suite a une attaque de mangemorts chez elle, et qui avait tuer son arrière tante, unique parente la plus proche, digne de s'occuper d'elle, du coup, c'est mon père, arrière cousin de cette décédé tante, qui dut prendre la charge de la petite. La pauvre, elle en a un peu souffert. Mais ma mère a fait calmer le jeu auprès de mes frangins, puis c'est revenue sur moi. Heureusement, ma mère tomba enceinte, et accoucha neuf mois plus tard, d'une petite Jani, dès son plus jeune âge, nous avions sentis que cette enfants était une étrange demoiselle. Sombre et mystérieuse, elle écrivait toujours chacun de ses actes. Elle ne parlais jamais, et écrivait chacune de ses demandes sur un calepin. Ma mère en avait un peu mare de racheter des tonnes de papiers tous les mois, c'était une écolo, et ces achats la mettait hors d'elle. Mon père la détestait, et lui prévoyait un avenir sombre et obscur. Ma mère devenait folle de rage, dès que mon père y faisait allusion. Mais mon père avait vu juste, la petite s'intéressait drôlement a la magie noire. Au plus grands bonheur de ma mère, naquis des jumelles, Lissa et Marghareth. Ouvertes et amusantes les deux dernières devinrent assez vite les chouchoute de la famille, mes deux débiles de frangins reprochaient toujours au parents de plus les gâter qu'eux. Ce qui était en partis vrai, mais ma mère avait toujours de bons arguments et les bonnes phrases pour les envoyer bouler ailleurs. Nous vivions donc à dix, puis a onze après l'arrivée de tatie rosette, venant tout droit de son patelins français. Elle s'était fait ruiner au poker, contre un vieux paysan de lait, et elle y avait tout laisser. C'était une cousine a ma mère. Ce qui était drôle chez elles, c'était son accent. Un exemple: "Esseuh, qu'iil y a queleuhqu'un àn la doucheeeuh ?". On vivait un peu serrés, mais agréablement.

      J'était un peu celle qui se sentait seule dans la famille. Ma grande soeur avait été envoyer dans l'école française Beaux-Batons, faire de belles études, mes frangins étaient les rigolos de la famille et on ne pouvait envisager la famille Van Kuilmburg sans eux. Ma soeur Jani, qui elle était un cas désespéré et que l’on classait à part, Kaya, a qui on demandait sans cesse des nouvelles de la Pologne en sachant qu’elle n’en avait pas, et a qui on s'intéressait plus que moi, plus jolie, plus vive, étrangère et attirante, et les deux Lissa et Marghareth, les mignonnes de la famille a qui on achetait toujours un nouveau cadeau a chaque sortie en ville. Moi, j'étais juste Jezabel, la simple petite, qui suivait la famille et qui rigolait quand tous le monde rigolais. Je me sentait un peu exclu, je faisais souvent des coups de déprimes dans les champs de blé a quelques kilomètres de la maison. Mes frères m'avaient appris a voler sur un balais à leurs retours de l'école. Je volais jusqu'au plus beau paysages et je découvrait le monde, les yeux remplis de larmes et de sanglots. Jusqu'à mes onze ans, ma vie fut triste et sans intérêt, heureusement, j'entrais a poudlard l'année qui suivait. J'allais enfin pouvoir changer de vie. Sans mes frères, j'allais vivre le pied.

      Ma vie, a commencer a connaître l'amour lors du voyage familiale en Irlande. Nous nous étions rendu dans les régions ensoleillée de Dublin. Nous étions installer dans un gîte tenus par une famille anglaise, où trois énormes femmes tenaient la maison en formes. Dans le village, aucune activités intéressante a faire. Nous étions logé pas loin d'un camping a mobile home, une nouveauté exclusive dans la région, et où se trouvait des gens qui jouaient au carte. Je m'y rendis en compagnie de Kaya. Nous avions empruntés nos balais en prenant bien soin d'atterrir assez loin du lieu prédit, afin de ne pas nous faire voir. Nous nous étions amusée comme des folles et nous passions toutes nos journée là bas. Quand un beau jour, arriva deux jeunes garçons, Mathias et Louis. Un irlandais et un français, correspondant passant des vacances ensemble. Nous avions bien sympathisé. Je m'intéressait bien a Louis au début, mais Kaya m'informa que Mathias, ne faisait que m'observer. Ce fut une grande première pour moi, je n'était jamais regardée par les garçons, et c'était comme un grande événement qui était plutôt habituel pour Kaya. Le lendemain, je fis plus connaissance avec lui, je me rendis compte que c'était un garçon très gentil, affectueux et aussi très mignon. Je passais mes journée avec lui, tandis que Kaya, se contentait de Louis, qui ne semblait pas s'intéresser a elle, une première pour elle aussi. Pendant un mois entier, je passais mes journées, avec un garçon bien plus que sympathique et très amusant. Je devenais amoureuse. Pour la première fois de ma vie. Lui, avait confié a Louis, ses sentiments envers moi. J'avais été mise au courant vite fait, mais je n'osais pas lui dire que les choses étaient réciproques. Il m’avait fait entendre une chanson qu’il avait dans son téléphone. Une chanson merveilleuse, romantique, et qui nous représentait bien. « i miss u. — blink 182 ». Je me l’était mise en tête et pensais a lui, en chantant ces quelques notes si bien accordée. La veille de son départ, j’avais décider de se faire un remake de toute nos photos prise ensemble. Il y en avait un paquet et mon appareil était surchargé. Il était 14h, le soleil était haut dans le ciel, il était assis sur une chaise, j’étais derrière lui, lui expliquant comment fonctionnait l’appareil. Il rigolait sur les photos délires que j’avais prise avec ma sœur, histoire de bien remplir l’appareil comme le font ses moldus. J’étais bien trop mal vis a vis de lui, de lui cacher mon vrai visage, qu’allait-il penser de moi, s’il aurait sut que j’étais une sorcière. Je ne voulais pas qu’il me jette comme un vieux torchon. Nous en étions a la photo n°45 sur 103. Soudain, « Batterie faible » suivit d’un « au revoir ! » affiché sur l’écran. Ce fichu machin électronique avait bousillé mes dernières minutes avec l’homme de ma vie. Soudain, il se tourna vers moi, s’approcha et m’embrassa tendrement. J’étais au ciel. Mon premier baiser. Je ne l’oublierais jamais. Le soir même, nous nous promettions sur le seuil de la porte que nous nous reverrions. Je lui fit la même promesse. En m’embrassant, il me glissa un morceau de papier froissé dans le creux de la main. Il me fit signe de le lire une fois qu’il serait parti. Je fis ce qu’il dit. En partant, des larmes coulaient le long de visage, je devenais tremblantes.
      En m’éloignant vers l’endroit où j’avais laisser mon balais, j’ouvris le papier. J’eus une sensation étrange. Mon cœur battait a toute allure. Il avait écrit au stylos bleu « Je suis comme toi » et un peu plus bas était écrit en tout petit les lettres qui formaient le nom suivant : poudlard. J’eut le corps rempli de frisson, une sensation intense m’avait envahie, j’ai amoureuse et j’allais revoir l’homme que j’aimais, dans un mois seulement. Pendant tout le reste des vacances, je réfléchis a l’année prochaine, où nous allions nous retrouver. Mais je restait bloquée sur un point ; sa maison. Et s’il allait être a serpentard ? Pour moi, je n’avais pas le moindre doute, toute ma famille avait été a Gryffondors, pour le moment. Mais nous avions une certitude pour l’un d’entre nous, ma sœur, mais ne lui ressemblant absolument pas, je n’avais casiment aucun doute sur ce point.



      ■ portrait psychologique: 7 lignes
      Comment pourrais-je me décrire ? Je pense que les gens de l’extérieur le feront mieux que moi, que celui que je ferait. Je pense être une fille assez simple, qui sache profiter de la vie, mais qui a une certaine assurance, j’aime bien être indépendante, vivre sans des bras parentaux qui tiennent ma vie entre leurs mains, je veux voler de mes propres ailes, essayer de ne pas les brûler. J’aime bien les choses originales qui se démarquent de toutes les choses que tout le monde fait. J’aime aussi beaucoup le monde moldu j’aime m’y inscuster, on me dit souvent que l’on ne ferait pas la différence. J’aime beaucoup faire des rencontres et écouter des musiques de rock allongé dans un champs de blé. Je ne supporte pas un bon nombre de choses. Il y a toutes ses choses s que tout le monde déteste de manière naturelle tel la jalousie, le mensonge, le raciste, la discrimination et tout le reste. Moi il y a aussi pleins d’autres choses. Je n’aime pas me lever le matin, je ne supporte pas le goût des apéritifs au fromages que mange ses moldus. Je n’aime pas les personnes qui corrigent nos fautes d’orthographes dans nos phrases, ceux qui accentuent le détails et ceux qui joue un rôle trop précis.


      ■ portrait physique: 7 lignes
      J’ai les yeux et la bouche de mon père. Ma mère m’a donner ses cheveux lors du transfert génétique. Mais je n’ai pas de complexe concernant mon visage. Certes, comme toute les jeunes filles j’aimerais le changer, mais il n’est pas non plus atroce, pour ça, oui, j’ai eu de la chance. Je ne suis pas trop gourmande de friandise, mais je fait quand même attention a mon alimentation, du coup je suis assez fine. Je mesure comme la moyenne des filles de mon âge, mes yeux sont vert qui virent au marrons, et mon teint est beige pale. J’aime bien me maquiller comme ses moldus qui galèrent chaque matin a cacher leurs taches de rousseurs (car j’en ai pas mal a chaque apparitions du soleil) ou qui essaient de couvrir leurs yeux de khôl noir. En ce qui concerne mon habillement, j'aime me vêtir décontractée. Un jean assez simple, avec un sweat, s'il fait froid et un débardeur s'il faut chaud. J'aime aussi varier les marques, comme je vous lai dit je suis assez intéressée par les moldus, ils font des fixettes sur les marques. J'ai essayer de m'y intéresser, et j'avoue que l'on peut y trouver quelque chose de bien. Les stylistes ont parfois des idée, très abracadabrante, comme ils disent — ce qui me fait bien rire —, mais souvent très jolie. Mais sinon, en cour, je porte la tenue obligatoire.


      ■ point de vue sur Vous-Savez-Qui: 3 lignes
      Mon père ne m’en a parler qu’une seule fois. Il m’a parler de son histoire, de ses sujets, les mangerons, du nombres de victimes ou encore de son passé. Il travaille au ministère et a subit pendant un moment une période de pression au travail, il contrôlait le territoire par la terreur, mais il m’a quand même rassuré que je n’avais rien a craindre. Je ne sais pas trop quoi penser de lui, j’évite un peu de m’intéresser a son sujet, j’avoue avoir un peu peur que l’on me punisse de m’y être intéressé. J'aime tellement ma famille, et je ne veut pas qu'un jour ma curiosité me retombe dessus, mais si je dois un jour entrer dans une organisation pour combattre les mangemorts, là je serais prête, je veux que la paix soit instaurer, et qu'ils soient punis pour leurs actes. Sachant qu'ils ont déjà attaquer une partie de ma famille (les parents et l'arrière tante de Kaya) je me sens concernée par cette cause.

      La date/heure actuelle est Ven 26 Avr - 23:44